association
Comme vous le savez, nous souhaitons assainir et réhabiliter les caves de l’hôtel Dumay. Nous avons saisi cette intervention, indispensable pour assurer la bonne conservation de notre hôtel pour agrandir le musée, créer un véritable accueil, un espace compensatoire pour les personnes à mobilité réduite et une véritable boutique.
Nous recherchons actuellement les meilleurs financements pour pouvoir réaliser ce grand projet. Nous serons aidés par la DRAC Occitanie et la Mairie de Toulouse, mais pour élargir nos chances de bénéficier d’un mécénat au-delà de notre région, nous avons lancé un appel aux dons par l’intermédiaire de la Fondation du Patrimoine, sur leur site national.
Nous vous rappelons que tout don quelqu’en soit son importance est défiscalisable.
Pour faire un don via la Fondation du Patrimoine :
https://www.fondation-patrimoine.org/les-projets/hotel-dumay-a-toulouse
Bien entendu, chers sociétaires, cela n’exclut pas que vous ne puissiez exprimer votre générosité directement auprès de nous, d’autant plus qu’un don à notre association, reconnue d’utilité publique, vous permettra de bénéficier d’une réduction d'impôt sur le revenu égale à 66 % du montant versé dans la limite de 20 % de votre revenu imposable.
Nous ne manquerons pas de vous tenir informés des suites de cette grande opération…
Simulation après réhabilitation des caves. @Julien Stuck
Sortie annuelle des Toulousains de Toulouse
le 16 juin 2022 : enfin !
Nous étions finalement une soixantaine à avoir décidé de braver les fortes chaleurs et bénéficier d’une journée passée ensemble. Partis tôt de Toulouse, en arrivant au château de Pennautier, monument historique, restauré en 2009, notre première halte, nous avons pu flâner un moment dans le parc classé « jardin remarquable ». Il a été dessiné par Le Nôtre au XVIIe siècle, puis il a évolué « à l’anglaise » au XIXe. La partie proche duchâteau a été restaurée à la française au XXe siècle.
Le château, toujours habité, donne un bel exemple d’ensemble classique après trois grandes phases de construction. La visite des différentes salles du rez-de-chaussée nous a permis de nous plonger un instant dans son atmosphère familiale.
Ce château fut construit en 1620 par Bernard Rech de Pennautier, Trésorier des États du Languedoc. En 1622, Il accueillit le roi Louis XIII qui lui fit don de son mobilier de voyage : lit à baldaquin avec ses courtines en excellent état et fauteuils déhoussables pour faciliter
le transport. Les tissus sont de superbes tapisseries en laine et bourre de soie.
Son fils Pierre-Louis de Pennautier, trésorier des États du Languedoc puis receveur général du clergé de France, confia à Le Vau, l’architecte de Versailles, l’élévation des ailes du château. Dans l’aile est se trouve la galerie Louis XIV, grande salle de bal ou de musique. Au cours de la visite on découvre des tableaux, des lustres, des tapisseries, de la vaisselle, des meubles, des décors, des marbres de Caunes Minervois.
Après notre déjeuner l’objet de notre deuxième visite était la partie publique de l’Abbaye de Lagrasse, propriété du Conseil Départemental de
l’Aude. Notre guide, Alix, charmante, dynamique et passionnée par son sujet, nous a tenus en haleine tout au long de la visite en nous présentant la cour du palais abbatial, le cellier, la boulangerie, le dortoir des moines, les chapelles basse et haute, la sacristie, le transept nord de l’église, et en terminant dans la salle d’apparat, au coeur des appartements privés de l’abbé.
Des restaurations majeures sont encore en cours ou à prévoir. D’ailleurs, l’abbaye de Lagrasse a reçu de la fondation du patrimoine dans le cadre du loto du patrimoine organisé par la Française des jeux et soutenu par Stéphane Bern, un chèque de 200 000 € pour la restauration du transept nord de l’église (montant total des travaux estimé à 500 000 €).
À l’arrivée à Toulouse, les participants nous ont tous dit avoir passé une excellente et riche journée. À l’année prochaine…
Visite du musée du Pays rabastinois et de l’église Notre-Dame-du-Bourg
Le jeudi 14 novembre 2019
C’est un merveilleux guide, Monsieur Ahlsell de Toulza, qui nous a fait découvrir les richesses du musée de Rabastens, ville à laquelle il est intimement lié par ses origines familiales. Conservateur du musée qu’il a grandement contribué à créer et à enrichir, il a séduit les Toulousains de Toulouse auxquels il appartient depuis plus de cinquante ans, par son enthousiasme et sa grande érudition.
Il nous a fait l’historique et la description minutieuse des trésors du musée : remarquable collection de céramique du XVIIe siècle, médailles, découvertes archéologiques, dont celle d’une villa romaine presqu’aussi belle que celle de Montmaurin… et exposition de la magnifique mosaïque qui y fut trouvée, impressionnants chefs-d’œuvre de compagnons du devoir, etc…
Aux étages supérieurs de ce bel hôtel particulier, il nous a présenté une très riche collection de tableaux de maîtres : Gaudion, Boyals, Bouillères, Leonardi, Jane Atché, mais aussi de fort beaux portraits des XVIe, XVII et XVIIIe siècles dont ceux du baron de Gragnague et de Mgr Chastenet de Puységur, tous ces artistes ayant la particularité d’être nés à Rabastens ou d’y avoir vécu. La visite du musée s’est terminée par une exposition, qui sera visible encore quelques mois, consacrée à la haute couture parisienne (Dior, Balmain) dont plusieurs créateurs eurent, là également, des attaches rabastinoises (Un important fonds d’archives de ces modèles étant conservé au musé).
Dans un second temps, Monsieur de Toulza, nous conduisit à l’église Notre-Dame-du-Bourg, joyau du XIIIe siècle, dont il nous fit un passionnant historique et nous permit, par privilège spécial… de visiter le chantier de restauration du chœur où l’on tente de retrouver les peintures du XIVe siècle, masquées par des enduits et peintures du XIXe siècle. La nuit était tombée lorsque nous quittâmes à regret cette belle cité de Rabastens et ses richesses.
Michel Pujol
Nouvelle acquisition
Un bel instrument entré dans nos collections : le piano de Louis Deffès.
Don de Mme Anne-Marie Bourdiol-Ducasse (arrière petite-nièce de Louis Deffès)
Le piano dont nous avons fait l’acquisition a appartenu à Louis Deffès (1819-1900). Premier compositeur toulousain à obtenir le prix de Rome de composition, en 1847, Louis Deffès est l’auteur d’une quinzaine d’opéras, d’œuvres symphoniques, de musique de chambre, de musique religieuse et de quelques chorales. Mais Louis Deffès est surtout et presqu’uniquement connu comme le compositeur ayant mis en musique un poème de Lucien Mengaud devenu ainsi la Toulousaine (Toulousaino ou Tolosenca en occitan). Ce dernier, issu de la petite bourgeoisie locale, fut apprenti orfèvre à Lavaur puis travailla à Toulouse dans une bijouterie avant de devenir employé de la ville. Chantre du "Midi", il va incarner pour quelques décennies la renaissance de la poésie occitane notamment avec son recueil Rosos et Pimpanèlos (1866). Toulouse lui érigea un buste en 1852 qui fut placé en 1894 dans le jardin du Grand Rond, où il est toujours visible. Notre exposition temporaire de l’été 2018 a également rappelé qu’il eut une discrète « carrière » de peintre amateur et exposa dans les différents salons des Beaux-Arts et de l’Industrie.
De cette association naquit cet hymne de la Ville rose, autrefois connu de tous et interprété aussi bien lors de célébrations officielles que lors de fêtes populaires. Elle reste aujourd’hui la seule œuvre de Louis Deffès à avoir été enregistrée. Directeur du conservatoire de Toulouse de 1883 à 1900, il y laissa aussi son empreinte. Après son décès la municipalité de Toulouse ouvrit une souscription publique pour la réalisation d’un monument à sa gloire. Le sculpteur Abel Fabre, originaire de Blagnac, proposa un monument, dont nous exposons une maquette à côté du piano. Il présentait la forme d’un imposant tombeau avec une haute stèle verticale abritant un buste du compositeur ; tandis que sur le côté une muse au regard triste tient une lyre, une couronne de lauriers et une palme sont posées au pied de la stèle. Le monument définitif, réalisé par l’architecte Curvale et l’entreprise Gache et fils (cimetière Terre-Cabade), fut inauguré le 14 Juillet 1904 en présence du maire Honoré Serres et d’une nombreuse assistance. Il est aujourd’hui toujours visible au cimetière de Terre-Cabade (secteur 5-4 bis). Bien que très proche de la maquette d’Abel Fabre, il présente toutefois quelques petites différences : la muse est placée dos à la stèle, la couronne de lauriers est absente.
Ce piano a toujours été conservé dans la famille du célèbre compositeur. Légué à sa fille ainée Marie-Louise, c’est ensuite la fille de celle-ci, Jeannette Bourdiol, qui en a hérité. La donatrice, Anne-Marie Bourdiol-Ducasse, étant la nièce de cette dernière. Une tradition familiale, rapportée par une autre petite-fille de Louis Deffès, précise que celui-ci n’eut, à titre privé, qu’un seul piano.
Ce piano a été acquis par le compositeur auprès de la réputée manufacture parisienne d’Henri Herz (1803-1888) qui, dans le rapport de l’exposition universelle de Paris de 1867, est présentée comme une des trois plus importantes en France, avec celle de Mme Érard et celle de MM. Pleyel et Wolff. Cette manufacture a reçu de nombreuses récompenses et distinctions lors d’expositions internationales, durant la seconde moitié du XIXe siècle. Un certificat d’authenticité, placé à l’intérieur du piano, atteste de la provenance de l’instrument et précise que celui-ci est un modèle A, numéro de série 30 402. C’est le facteur toulousain Balas, installé au 15 rue du Musée, qui commercialisait les pianos de Herz à Toulouse, comme en témoigne une plaque fixée à l’intérieur.
Au sein de la salle Rozès-de-Brousse, le musée du Vieux-Toulouse expose un certain nombre d’objets évoquant le souvenir de Louis Deffès et de la plus connue de ses compositions : maquette du tombeau du compositeur, photos et portrait charge de celui-ci, édition ancienne de la partition de la Toulousaine portant un autographe et on signalera aussi un petit bas-relief en plâtre du sculpteur toulousain Dominique Fourcade, représentant Louis Deffès jouant sur un piano semblable à celui-ci (piano droit avec les piédroits courbés et deux chandeliers sur la face avant). Le musée conserve aussi un important fonds documentaire sur l’artiste, donné en grande partie par une de ses petites-filles. Cet objet a trouvé sa place au sein de ces collections en y ajoutant un instrument sur lequel le compositeur a lui-même joué. Précisons pour terminer que le clavier du piano est protégé par un tissu de soie brodée portant quelques notes et paroles de la Toulousaine…
Amandine de Pérignon et Jérôme Kerambloch
Du 25 juin au 29 septembre 2018, ouvert du lundi au samedi de 14h à 18h
Les Toulousains de Toulouse ont souhaité cette année mettre en valeur un fonds important de peintures, de portraits et d’autoportraits d’artistes toulousains et régionaux représentatifs de la production locale de la fin du XVIIIe siècle au début du XXe siècle. Ce fonds a été complété par des prêts d’institutions et de particuliers. Variés, ces portraits et autoportraits nous interrogent sur le processus de création et la perception du statut d’artiste selon les époques.
A travers une soixantaine d’œuvres diverses, tableaux, dessins, photographies, sculptures, le visiteur est invité à partir à la rencontre des artistes régionaux pour un face à face étonnant.
Visite guidée les samedis 7 et 21 juillet, 4 et 18 août, 1er et 29 septembre. Durée 45 min.
Les débuts du rugby à Toulouse (1890-1930). Naissance d'une passion. Du 25 juin au 7 octobre 2023
En cette année 2023, le rugby célèbre officiellement ses 200 ans d’existence, pendant que la coupe du monde se déroulera en France à l’automne. Le musée du Vieux-Toulouse en profite pour vous inviter à plonger dans la mêlée et découvrir l’histoire fascinante du rugby à Toulouse. Comment ce sport anglais est arrivé sur les rives de la Garonne, comment il est devenu en deux décennies le sport préféré des Toulousains ? Quels étaient les premiers clubs de la ville ? Quelles en étaient les stars ?
À travers une sélection d’objets, de documents, d’œuvres d’art, l’exposition propose par une immersion dans la fascinante histoire du rugby à Toulouse de découvrir comment tout a commencé.
Du 23 juin au 7 octobre 2023, tous les jours de 14h à 18h sauf le dimanche et jours fériés.
Billet couplé musée + expo : 5 € plein-tarif, 3€ tarif réduit, gratuit pour les enfants de moins de 10 ans, détenteurs d’un Pass Tourisme, demandeur d’emploi.
Exposition Odile Mir du 25 juin au 1er octobre 2022
Exposition Gabriel Durand. Images du IId Empire à Toulouse du 26 juin au 6 octobre 2021
Exposition Jacques MURON du 14 septembre au 27 octobre 2020
Né en 1950 à Toulouse, vit et travaille à Mane (Haute-Garonne).
Il a étudié le dessin et la gravure à l'École des Beaux-Arts de Toulouse de 1968 à 1973 suivant l’enseignement de René Izaure (dessin) et de Louis Louvrier (gravure). Lauréat de l’Académie de France (Prix de Rome), il part en résidence à la Villa Médicis entre 1983 et 1985 et fait la rencontre de l'auteur François Bon, également pensionnaire, qui écrit un texte inspiré d'une de ses gravures, Le Solitaire.
Jacques Muron est l'auteur de nombreux dessins et burins dont il assure lui-même l'impression. Son trait est fin, léger, minutieux et il accorde une importance particulière au vide mettant en relief l'essentiel du sujet proche parfois de l'abstraction. Il aborde essentiellement les thèmes de l'architecture rurale (granges, toitures, claustras...), du paysage de montagne et des outils du graveur. Il réalise des dessins préparatoires avant d'entreprendre un long travail au burin sur la plaque de métal. Jacques Muron est l’un des rares artistes à maîtriser à ce point la technique du burin.
Par ailleurs l’exposition permanente au musée accueillera cinq gravures du XXe siècle mettant ainsi en perspective la place de Muron dans l’école de gravure toulousaine, cette installation est mise en place en collaboration avec Estampadura.
Le musée du Vieux-Toulouse a voulu rendre hommage à cette œuvre en proposant au public une grande exposition.
Du 14 septembre au 14 novembre 2020
Musée du Vieux-Toulouse
7 rue du May, 31000 Toulouse
Exposition Renée Aspe au Musée du Vieux-Toulouse
Du 24 juin au 28 septembre 2019
A l’occasion des 50 ans de la disparition de Renée Aspe, les Toulousains de Toulouse et le musée du Vieux-Toulouse, associés au neveu de l’artiste, Jean-Claude Aspe, ont souhaité mettre à l’honneur la riche production de cette peintre célébrée de son vivant.
Une centaine de peintures, dessins, photographies, céramiques sont réunies ainsi que des objets personnels de Renée Aspe permettant d’appréhender la carrière et la personnalité de l’artiste.
Les grands thèmes de son oeuvre sont représentés : les voyages, natures mortes, portraits, le monde du cirque et sa ville natale, Toulouse, à laquelle elle demeurait très attachée. Issus le plus souvent de collections privées, ces peintures, objets et documents sont peu connus du public qui sera certainement sensible à cette oeuvre célébrant la joie de vivre et l’instant.
Portraits d'artistes
Du 25 juin au 29 septembre 2018
Les Toulousains de Toulouse ont souhaité cette année mettre en valeur un fonds important de peintures, de portraits et d’autoportraits d’artistes toulousains et régionaux représentatifs de la production locale de la fin du XVIIIe siècle au début du XXe siècle. Ce fonds a été complété par des prêts d’institutions et de particuliers. Variés, ces portraits et autoportraits nous interrogent sur le processus de création et la perception du statut d’artiste selon les époques.
A travers une soixantaine d’œuvres diverses, tableaux, dessins, photographies, sculptures, le visiteur est invité à partir à la rencontre des artistes régionaux pour un face à face étonnant.
Visite guidée les samedis 7 et 21 juillet, 4 et 18 août, 1er et 29 septembre. Durée 45 min (ouvert du lundi au samedi de 14h à 18h).
Trésors cachés : le musée du Vieux-Toulouse se dévoile…
Du 15 juin au 17 octobre 2015
Cette exposition permet de dévoiler quelques objets des réserves du musée, rarement ou jamais montrés, pour éclairer divers pans de l’histoire toulousaine : Le Capitole de l'enclos du Moyen-âge jusqu'au XIXe siècle, le couvent des Carmes, l’Île de Tounis et sa passerelle disparue, les anciens remparts de la cité... Ce sont aussi les projets qui font l'histoire, même si ceux-ci ne sont pas toujours réalisés : tracé prévu du canal du Midi en 1667, porte triomphale de la place Lafayette (Wilson aujourd'hui) à la fin du XVIIIe siècle ou statue de Jeanne d'Arc pour la place du même nom... On retrouvera aussi les anciennes institutions de Toulouse, son équipe de rugby et le cardinal Saliège…
Visites guidées samedis 27 juin, 25 juillet, 29 août, 26 septembre à 15 heures
Évocation de la bataille de Toulouse, 10 avril 1814
Du 16 juin au 13 septembre 2014
Cette exposition qui présente objets et documents d'époque, évoque un épisode militaire méconnu qui s'est déroulé à Toulouse dans les derniers jours du Premier Empire.
En 1813-1814, plusieurs défaites obligent les armées françaises à quitter la Péninsule ibérique. L'armée de Catalogne remonte en direction de Narbonne tandis que l'armée des Pyrénées commandée par le maréchal Soult franchit les Pyrénées du côté atlantique ; ce dernier est talonné par une coalition anglo-hispano-portugaise beaucoup plus nombreuse aux ordres du marquis de Wellington.
Sur le territoire français, la retraite se poursuit en direction de Toulouse que Soult a fait fortifier en prévision d'un siège. Une bataille d'une journée s'engage le 10 avril 1814 entre les deux armées alors même que Napoléon 1er a abdiqué depuis plusieurs jours mais la nouvelle n'est pas encore connue à Toulouse. Dans la nuit du surlendemain, Soult quitte la ville en direction de Castelnaudary sans que Wellington intervienne pour se rapprocher de l'armée de Suchet.
Entrée 1 € ou 2€50 avec l’entrée au musée. Gratuit pour les adhérents
Le commandeur Marius Cazeneuve (1839-1913)
A l’occasion du centenaire de la mort de Marius Cazeneuve, éminent illusionniste, aventurier, scientifique, mathématicien, poète, etc. l’association des Toulousains de Toulouse souhaite rendre hommage à celui qu’elle compta parmi ses membres, à travers divers objets lui ayant appartenu : peintures, dessins, affiches, photographies, sculptures et documents divers le concernant.
Une centaines d’œuvres et d’objets viendront illustrer les différentes facettes de cet homme d’exception.
L’exposition aborde plusieurs thèmes : biographie, actions scientifiques, prestidigitation et illusion, poésie et patriotisme (il s’est brillamment illustré au cours de la guerre de 1870), aventures et voyages (notamment à Madagascar où il se lia d’amitié avec la reine Ranavalona III), l’artiste peintre et le collectionneur avec, pour la première fois, la présentation de l’ensemble de ses œuvres conservées au musée du Vieux-Toulouse et enfin son action au sein des Toulousains de Toulouse et les hommages que l’association lui a rendus.
Cette exposition fera découvrir ou redécouvrir aux Toulousains et aux touristes, une figure locale, connue de tous de son vivant, qui fit plusieurs fois le tour du monde. A travers ce personnage, c’est aussi toute une époque qui reprend vie.
Mai 68 à Toulouse
Les Toulousains de Toulouse et le musée du Vieux-Toulouse organisent du 22 avril au 15 juin prochain, dans la salle Pierre-de-Gorsse de l'hôtel Dumay, une exposition du photographe Tony Ser consacrée aux événements de Mai 68 à Toulouse. Alors étudiant, Tony Ser a pris des centaines de clichés de ces journées explosives dont une sélection sera présentée, accompagnés de documents extraits de nos archives.
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Exposition renée Aspe au Musée du Vieux-Toulouse
du 24 juin au 28 septembre 2019
A l’occasion des 50 ans de la disparition de Renée Aspe, les Toulousains de Toulouse et le musée du Vieux-Toulouse, associés au neveu de l’artiste, Jean-Claude Aspe, ont souhaité mettre à l’honneur la riche production de cette peintre célébrée de son vivant.
Une centaine de peintures, dessins, photographies, céramiques sont réunies ainsi que des objets personnels de Renée Aspe permettant d’appréhender la carrière et la personnalité de l’artiste.
Les grands thèmes de son oeuvre sont représentés : les voyages, natures mortes, portraits, le monde du cirque et sa ville natale, Toulouse, à laquelle elle demeurait très attachée. Issus le plus souvent de collections privées, ces peintures, objets et documents sont peu connus du public qui sera certainement sensible à cette oeuvre célébrant la joie de vivre et l’instant.
23 mai 2018
Toulouse célèbre les 20 ans des "Chemins de Saint-Jacques de Compostelle en France" sur la Liste du patrimoine mondial
La ville de Toulouse s'associe à la célébration des vingt ans de l’inscription des "Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France" sur la Liste du patrimoine mondial de l'Unesco. Elle propose un programme riche et varié de manifestations.
Pour en savoir plus :http://www.cheminscompostelle-patrimoinemondial.fr/fr/actualites/-1/-1/Toulouse
22 mai 2018
Eglise Saint Exupère
Les amis de l'église Saint-Exupère ont créé un site pour partager leurs activités. Nous vous invitons à le visiter :
http://www.amis-st-exupere-toulouse.com/
3 mai 2018
Campagne de financement participatif pour notre exposition d'été
Les Toulousains de Toulouse préparent leur exposition d’été dédiée aux portraits des artistes qui ont marqué l’histoire des Beaux-Arts à Toulouse et au-delà. Le niveau d’exigence de ce projet requiert des moyens financiers exceptionnels qui nous font défaut. C’est pourquoi nous avons décidé de lancer une campagne de recherche de mécénat.
Notre campagne « Découvrez les portraits d’artistes du midi toulousain ! » est en ligne et accessible en toute sécurité en cliquant sur le lien :https://www.commeon.com/fr/projet/portraits-dartistes#ORNL
Vous découvrirez notre projet qui nous invite à plonger au plus près du patrimoine toulousain et à participer avec nous à la réalisation de cette belle exposition. Soutenez-nous dès 10 €, et profitez de contreparties exclusives que nous avons réservées pour vous ! En outre, en tant que particuliers, vous bénéficierez d’un crédit d’impôts à hauteur de 66% de votre don ; en tant qu’entreprise, vous bénéficierez d’un crédit d’impôts de 60% du montant de votre don dans la limite de 0,5 % de votre chiffre d’affaires.
Nous avons 58 jours du 3 mai au 30 juin pour réunir 8 000 € !
N’attendez pas, faites un don pour notre exposition d’été ICI :
https://www.commeon.com/fr/projet/portraits-dartistes#ORNL
Nouvelles Nombre d'articles : 14
Cycle de conférences culturelles sur les chemins de Compostelle
organisé en région Occitanie du 9 au 15 novembre 2019
Ce cycle de conférence vient à propos et en écho de l’exposition « Chemins de Compostelle » visible à l’ensemble conventuel des Jacobins à Toulouse du 22 octobre au 5 janvier 2020
Les dates, lieux et thèmes
- samedi 9 novembre à Salviac (Lot) à 17h, médiathèque, « Chrétiens, juifs et musulmans en Espagne » association Animation & Culture. (Entrée libre)
- dimanche 10 novembre à Fanjeaux (Aude) à 15h30, salle polyvalente, départ de la déambulation dans les traces de saint Dominique, et à 17h30 de la conférence « Dominique un saint espagnol » les amis des chemins de Saint-Jacques en terre d’Aude. (Libre participation)
- Lund 11 novembre, Cazedarnes (Hérault), ancienne abbaye de Fontcaude, 15h30, « Saint-Jacques et Charlemagne » suivi d’un concert de chant grégorien et dégustation de vins du terroir (entrée payante 10€ participation aux projets de restauration)
- mercredi 13 novembre à 20h à Rieux Volvestre (Haute-Garonne), salle du moulin, « 1200 ans sur les chemins de Saint-Jacques » suivi d’un verre de l’amitié, association Pupenvol, (libre participation)
- jeudi 14 novembre à Malegoude (Ariège) à 18h « Les pèlerins de Compostelle », Pays d’art et d’histoire des Pyrénées Cathares. (Entrée libre)
- vendredi 15 novembre à 20h30 à Toulouse, église Saint-Nicolas, Grand rue Saint-Nicolas, « L’hospitalité sur les chemins de Compostelle », (entrée libre, libre participation)
La conférencière
L’historienne Adeline Rucquoi est spécialiste de l’histoire médiévale de la péninsule ibérique. Elle a publié de nombreux ouvrages parmi lesquels « Le voyage à Compostelle » (Robert Laffont, 2018) et « Mille fois à Compostelle » (Les Belles lettres 2014). Elle a dirigé le colloque « Saint-Jacques et la France » (Cerf, 2002)
L’agence des chemins de Compostelle
Cette tournée de conférences est coordonnée par l’Agence des Chemins de Compostelle, opérateur des Régions Occitanie, Nouvelle-Aquitaine et Bourgogne Franche Comté pour le développement culturel et touristique des chemins de Saint-Jacques de Compostelle.
www.chemins-compostelle.com
25 juillet 2019
Dix artistes sont en train de décorer les écrans acoustiques érigés sur le périphérique extérieur à la hauteur des Ponts Jumeaux. Les travaux ont été commandés par la Direction des Routes du Sud Ouest et la Ville de Toulouse.
6 juillet 2019
Réouverture au public de la promenade Henri Martin après des travaux importants de restauration des quais Saget et réaménagement de la promenade elle même : réfection des cheminements, des pelouses, création de placettes... L'ascenseur reliant la Garonette au Quai de Tounis entre en fonction après les fêtes du 14 juillet. Les travaux restants concernant la restauration des murs des quais aux abords du Pont Neuf reprendront à la fin de l'été.
Exposition renée Aspe au Musée du Vieux-Toulouse
du 24 juin au 28 septembre 2019
A l’occasion des 50 ans de la disparition de Renée Aspe, les Toulousains de Toulouse et le musée du Vieux-Toulouse, associés au neveu de l’artiste, Jean-Claude Aspe, ont souhaité mettre à l’honneur la riche production de cette peintre célébrée de son vivant.
Une centaine de peintures, dessins, photographies, céramiques sont réunies ainsi que des objets personnels de Renée Aspe permettant d’appréhender la carrière et la personnalité de l’artiste.
Les grands thèmes de son oeuvre sont représentés : les voyages, natures mortes, portraits, le monde du cirque et sa ville natale, Toulouse, à laquelle elle demeurait très attachée. Issus le plus souvent de collections privées, ces peintures, objets et documents sont peu connus du public qui sera certainement sensible à cette oeuvre célébrant la joie de vivre et l’instant.